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M. Lingénut part à la recherche des cons


Je découvre l'existence des cons

En passant près d'un restaurant, je suis tombé en arrêt devant une pancarte qui m'a obligé à réfléchir. Ici au Sénégal, c'est l'avantage, on est tout le temps obligé de réfléchir. C'est bon pour le cerveau. 

D'abord, je remarque qu'il y a plusieurs tarifs puisqu'il y a un "s". Ensuite, je n'ai pas trouvé pourquoi tout d'un coup  il y a un P majuscule au mot "pour". Et puis, le mot resto doit faire partie du langage local. Il y avait largement la place d'écrire restaurant. Et puis, je me suis dit qu'il n'y a pas de petites économies. Probablement que le peintre en lettres était payé à la lettre.

Mais surtout, sur cette pancarte, il y avait une indication qui m'a intrigué. On peut aller dans la piscine du restaurant avec ou sans cons. Et c'est plus cher avec cons.

Le problème, c'est que plus tard, sur la porte du Macoumba, j'ai vu une affiche qui parlait de la même chose. Il allait y avoir un spectacle à base de balais. Et c'est pareil, c'est 3000 Fr avec cons. Au pluriel ! 

Donc, ayant réfléchi, je me suis dit que je voulais absolument voir ce spectacle organisé par des techniciennes de surface africaines dont le soucis est de nous satisfaire avec leur chaleur. Il faut que je poursuive ma connaissance de la culture sénégalaise et que j'y ailles. 

Le problème, c'est que j'ai bien les 3.000 Fr, mais je n'ai pas de cons pour m'accompagner. Il faut que j'en trouve...



Où trouver des cons ? 


En parcourant les rue de Saly, j'ai bien trouvé un con qui a cru bien faire, celui qui a planté l'arbuste sur le peu de place qui reste pour les piétons. Madame Les Mains de Rêve m'a dit que c'est l'ancienne propriétaire qui a fait ça et qu'elle est repartie à Touba. Ça n'aurait pas marché, c'est une conne, et apparemment il faut un con.


 

(Rédaction en cours)




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